Sces : cartes postales
A gauche, lors de l'achat de la
maison afin "d'échapper" aux inondations de 1910. |
A droite, après que le
grand-père de Papy-Louis en ait pris possession. |
Faites le calcul : 75m3/s = 6.5 millions de m3 par jour (alors que jamais l'Authion n'a effleuré nos terrains, même avant l'installation de celles-ci ! ) Essayez d'expliquer à des techniciens, fonctionnaires et élus bornés que cela changerait les choses, au moins dans la vitesse de progression, donc en aléas, en cas de rupture de levée ... |
Dans
son poème, Emile JOULAIN reprend des
titres des ouvrages de Lise Laurent Martin. "La Villa perdue" à laquelle Emile fait allusion, il s'agit bien sûr de son roman mais elle avait donné le nom à son petit cabanon dans lequel elle s'isolait pour écrire. Elle l'avait fait construire au bout de sa propriété, en limite des jardins de Papy-Louis, en plein bourg - ci-contre ) Photographie prise depuis l'angle du jardin de Papy-Louis Rappel : (terrains classés par la municipalité - qui se fait sa réserve foncière - : non urbanisés, non urbanisables, inondables d'aléas conséquent, zone naturelle - L'église à moins de 100 mètres et la Loire à plus de 7 km ! ) |