L'eau monte, il faut
préserver le matériel et installer des planches
pour accéder aux habitations. C'est donc devant cette maison, appartenant au grand-père de Papy-Louis, là où sont nés sa mère et son oncle, que, sur des planches, Papy-Louis a fait ses premiers pas. |
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Sur
la photo, on aperçoit son
père et son oncle
André
: 4 ans plus tard, ils seront tous les deux à la guerre. Dans ces années, les grand-parents habitaient là avec l'Oncle André. Les parents de Papy-Louis et lui habitaient immédiatement à côté, dans une maison en location. Sur la photo ci-dessous prise, en 2004, on aperçoit une remise derrière Papy-Louis. C'est son grand-père qui la fit construire pour pouvoir bénéficier de place lorsqu'il a entrepris de faire du commerce de plants avec l'Amérique un peu avant 1900 (nous n'avons jamais su ce qui l'avait motivé pour lancer ces transactions... connaissances avec les pépiniéristes angevins probablement. ) |
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Les épais murs de cette remise, pour protéger les plants des gelées, ont été réalisés avec des ardoises de Trélazé (ardoisières angevines). Tous les matériaux ont été transportés en charrette par le grand-père de Papy-Louis. | ||
C'est
donc suite à ces inondations que son grand-père a
acheté deux propriétés dans le bourg.
Il a
continué à faire des navettes en carriole entre
le bourg
et cette propriété pour y travailler aux
pépinières. Une des deux maisons acquises "bien au sec", en plein bourg, est celle qui est devenue la maison familiale et les terrains qui l'entourent constinuent ce que la commune veut depuis vingt ans s'octroyer à vil prix, comme réserve foncière, sous couvert d'un plan de prévention (alibi) aux risques ....d'inondations (un comble) ! |