Vers 1915, mon grand-oncle devait être à la guerre alors que ma grande-tante et leur fille ainée sont sur la photo.
Son frère, mon grand-père maternel, à la guerre aussi décèdera de la grippe espagnole un mois avant l'armistice.
Deux chevaux ont pu être conservés (non réquisitionnés). Il faut dire que l'approvisionnement de Paris, même s'il était plus rare et difficile devait quand même se faire.
Ce
type de
carriole,
à plateau relativement bas, s'appelait un "camion"
(particularité : deux essieux dont celui avant était
directeur).
Un peu plus
d'un demi-siècle plus tard, j'ai souvent traversé
cette cour, à Montreuil, quand j'allais travailler avec la
famille, les petits-enfants de ces mandataires aux halles, pendant
les grandes vacances.