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Chauffage / Eau chaude / froide
Pour les plus aisés, dès 1925 les moteurs et les réservoirs puis les cuves sous pression ont fait leur apparition ce qui permit à ceux-ci de disposerde cabinets de toilette et de sanitaires avec chasse d'eau. Cela ne s'est généralisé, à quelques exceptions près, que vers 1965 .... il a fallu du temps pour délaisser cette cabane au fond du jardin !
Vous voyez bien que même en enlevant mousse et lierre, cela ne donne pas vraiment envie ... d'y rester longtemps !
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de page
Chez ma grand-mère maternelle il y avait les mêmes mais en biplace ! Voici ce que cela donnait ! De quoi s'occuper ...
La
lecture et la conversation dans les toilettes biplaces encore
appelées "causeuse"
(comme chez ma grand-mère maternelle)
Les deux ont été remplacées par la solitude devant son smartphone...
( mais quoi qu'il en soit les deux sont aussi inappropriées en ce lieu - et pour le smart, pas bien hygiénique, et pourtant...)
SEAU HYGIENIQUE ou POT de CHAMBRE - voir synonymes argotiques (*)
Même si ses bords étaient froids, (avant ceux en plastique) et s'il ne faisait pas bien chaud dans cette buanderie, c'était mieux que dans la cabane au fond du jerdin et ses araignées ...
Il fallait être malade pour l'avoir dans la chambre "collective" dans un chevet conçu à cet effet.
(nous avons été jusqu'à 9 à la maison - 5 frères et soeurs - mais au minimum à 5 dans la grande chambre, parents compris, quand même !)
| (*) Les synonymes argotiques : (je fais abstraction des vespasiennes, pissotières et autres urinoirs, ainsi que des termes militaires - merci à languefrancaise.net) | Il y a eu ça aussi, dans la table de nuit (chevet) |
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Du pot de chambre (liste non exhaustive) : baquet, jules, pot, trône, vase de nuit, mais aussi : baise-cul, bicyclette, boîte à dégras, bourdalou, camarade à Thomas, carlos, cassolette, chamberpot, dépotoir, goguenot, griache, grosses lèvres, habitant, jules reçoit tout seul, locataire de la table de nuit, moreller, pot à pisser, pot aux roses, pot-à-pisse, reçoit-tout, soulagement, thomas, tigre, tinette, très-pressé, vase nocturne ... (en caractères - gras, si je puis oser- , compte tenu du thème : ceux que nous utilisions) Des Toilettes intérieures ou extérieures (liste non exhaustive) :baquet, cabinets, cagoinces, chiotard, chiottes, closet, cagues, commodités, communs, gogues, jules, lieux d'aisance, où c'est, où vous savez, ouas-ouas, petit coin, pot,privés, quelque part, sacristie, Saint-Siège , téléphone, tinette, trône, vase de nuit, vatère, vécé, waters, wc, mais aussi : aller voir Bernard, anglais, baise-cul, bicyclette, boîte à dégras, bourdalou, cabinces, camarade à Thomas, carlos, cassolette, cent, chamberpot, chiards, chiots, chiotte-house, débourre, débourroirs, dépotoir, goguenot, gras, grosses lèvres, habitant, ici, inodores, jules reçoit tout seul, lieux, lieux à l'anglaise, locataire de la table de nuit, mère Thomas, moreller, pot à pisser, pot aux roses, pot-à-pisse, poulaine, rambuteau, reçoit-tout, refile, restaurant à rebours, retiro, soulagement, tartines, tartissoire, tasse, thomas, tigre, très-pressé, ugène, vase nocturne, villa caquelet, villa des roses, villa Louise.( De même, en caractères gras : ceux que nous utilisions) |
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| Comme
on a pu le
décrire dans les pages spécifiques, Papy-Louis
aimait
bien quand il avait le temps et ce n'était pas souvent...,
s'adonner au dessin. Les "water-closet" étaient bien évidemment pourvus d'une réserve de journaux puisque les feuilles de ceux-ci constituaient le seul papier (non) hygiénique à bord... Dans les années 1930, alors qu'il dut être obligé de rester un peu plus longtemps que d'habitude et, voyant sans doute sur une photo du journal, le visage si particulier de celui qui devint un des plus grands criminels de l'histoire, (il ne le savait pas compte tenu de la date et preuve en est avec une faute au nom et la croix inversée), il a dû être inspiré... La caricature est réussie puisqu'on croirait voir ce personnage 15 ans plus tard sous les derniers traits connus ! Pourquoi Papy-Louis n'a jamais effacé ce dessin, même pendant la fin de la guerre, à son retour, nul ne le sait. Quoi qu'il en soit, nous enfants, au milieu des araignées, quelquefois à la nuit tombante, avec une seule pile électrique comme éclairage, ce portrait nous hantait et ajoutait à la terreur générée par les lieux ! |
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