"J'ai
r'trouvé
la Loér'; y'avait comben d'temps, Comben don' d'hivars, comben don d'printemps Que j'l'avions pardue ? Enter' les îles vart's et l'sab jaunissant, Comme ein' grand' fill', morte au bout d'son sang, E'l'tait étendue..." Emile Joulain - 04/12/1950 |
J'ai
retrouvé
la Loire; il y avait combien de temps, Combien donc d'hivers, combien donc de printemps Que je l'avais perdue ? Entre les îles vertes et le sable jaunissant, Comme une grande fille, morte au bout de son sang, Elle était étendue ... |