Page précédente Sommaire Album Sommaire Site Page suivante
Même si les combats pour libérer Angers furent meurtriers, il n'y eut rien de comparable avec certaines situations dans d'autres villes et villages et en particulier à Oradour-sur-Glane qui reste
Le massacre d’Oradour-sur-Glane , le 10 juin
1944, village de la Haute-Vienne, situé
à environ vingt kilomètres au nord-ouest de
Limoges, et le massacre de sa population (642 victimes), par un
détachement du 1er bataillon du 4e régiment de
Panzergrenadier « Der Führer » appartenant
à la Panzerdivision « Das Reich » de la
Waffen-SS constitue le plus grand massacre de civils commis en France
par les armées allemandes.
Après la destruction du village, les familles survivantes ont vécu dans des baraquements en bois, puis dès 1953, dans une vingtaine des deux cents maisons construites à quelques centaines de mètres des ruines, le « nouveau bourg », dont seule la rue conduisant de la place principale aux ruines porte le nom, de « avenue du 10-Juin », les six autres rues ne recevant un odonyme qu'en 1992.
Jusqu’au début des années soixante, les habitants observent un deuil permanent et Oradour est une ville morte, où ne sont célébrés ni communion, ni baptême, ni mariage, sans aucune activité festive
(Sce : texte wiki - photos personnelles ©Papy-Louis)Après la destruction du village, les familles survivantes ont vécu dans des baraquements en bois, puis dès 1953, dans une vingtaine des deux cents maisons construites à quelques centaines de mètres des ruines, le « nouveau bourg », dont seule la rue conduisant de la place principale aux ruines porte le nom, de « avenue du 10-Juin », les six autres rues ne recevant un odonyme qu'en 1992.
Jusqu’au début des années soixante, les habitants observent un deuil permanent et Oradour est une ville morte, où ne sont célébrés ni communion, ni baptême, ni mariage, sans aucune activité festive
La vie s'est figée
L'église et ses vestiges, pour certains, fondus ...
