La " Correctrice" En fait un mini calculateur/ordinateur constitué d'un lecteur optique qui détectait les trous des cartes mécanographique (ou mécanographiées - les deux sont entrés dans le langage) Comme indiqué dans la page générique : Pour le permis, la machine était programmée grâce à des cartes qui identifiaient la journée, la séance et l'établissement, en amont de la séance;  puis le candidat au moment de la correction. Un dispositif d'impression intégré (avec des rouleaux autrement plus difficiles à changer que ceux des caissières des super-marchés...une hantise d'avoir à le faire en cours de correction). Il fallait découper le ticket grâce aux dents du bord du dispositif, comme pour du papier albal ou cellophane mais quelquefois il se déchirait et par ailleurs des rouleaux de tickets autocollants double face qui permettait de coller le ticket sur le dossier (on avait souvent l'air du capitaine Haddock avec son sparadrap au bout des doigts dans Tintin au Tibet ! ..).
Les Boîtiers : Souvenirs de ménage : Il fallait transporter ces boîtiers dans de grands présentoirs de 25 emplacements chacun et comme tout le matériel était transporté dans nos véhicules personnels, vous comprendrez que les sièges et coffres étaient remplis de confettis comme d'ailleurs nos moquettes de couloirs puisque nous remisions tout cela souvent à domicile par manque de locaux...	Seule partie du boîtier utilisée avec un stylo pour renseigner ces champs
	Commençaient souvent ici les difficultés (perforation insuffisante, de travers, carte légèrement décalée et confettis récalcitrants etc...) pour renseigner le rang de présentation, la ou les catégorie(s) sollicitée(s), la tranche d'âge et le niveau d'études. Ce n'était pas encore la collecte d'informations comme les réseaux sociaux d'aujourd'hui mais un début pour les statistiques.
Les deux faces de la carte avec  le texte qui apparaissait à l'écran au moment du changement nécessaire pour répondre aux questions 18 à 40.

Vous êtes le ème visiteur. Merci et à bientôt