Une pie, tant pis,
Deux pies, tant mieux, Trois pies, bonheur ! la Pie est souvent considérée comme un oiseau de mauvais augure. La première rencontrée serait donc annonciatrice de malheur et comme il faut bien conjurer le sort, on considère que la deuxième le fait. Alors, lorsqu'une troisième pointe son nez (pardon son bec), le sort est plus que conjuré, le bonheur est assuré ! Dans certaines régions on dit "Argent", "Mariage" ou "Naissance"... A vous de choisir. |
J'ai voulu associer la
Pie (voleuse) à ce "Bijou" :
mon Ginkgo biloba, toujours un régal pour les yeux en cette saison. On comprend mieux pourquoi il est surnommé l'Arbre aux quarante écus ! (même si l'origine n'est pas la couleur puisque Le nom d’« arbre aux quarante écus » vient du fait que le botaniste français M. de Pétigny a acheté, en 1788, 5 plants de ginkgo à un botaniste anglais pour la somme considérable de 25 guinées, soit 40 écus chaque pied). |
Peu importe, que
ce soit
l'opéra de Rossini qui raconte l'histoire d'une servante
accusée du vol d'une petite cuillère ou la Pie
des
"bijoux de la Castafiore" de Tintin, il est reconnu que la Pie
dérobe à l'aide de son bec, des objets souvent
brillants,
pour les porter à son nid. Je vous rassure,
ces trois Pies n'ont pas emporté mes feuilles !
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